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La déshydratation comme technique de préservation

Vision

Le but de ce projet était de comprendre davantage la production alimentaire, l’impact environnemental de l’approvisionnement alimentaire et les enjeux liés à la sécurité alimentaire. Il s’agissait également d’évaluer l’efficacité des initiatives visant à accroître la sécurité alimentaire dans leur environnement et d’expliquer l’impact de diverses méthodes agricoles sur la production alimentaire locale et mondiale. Pour illustrer ces concepts, le film Kissing the Ground a été visionné comme mise en situation. L’objectif était de faire un lien direct entre les raisons de jardiner et celles de cuisiner. Le projet était aussi une initiative visant à comprendre comment la déshydratation, en tant que technique de préservation, se compare à d’autres méthodes telles que la réfrigération et la congélation.

Action

Dans le cadre des cours d’alimentation et de nutrition au secondaire, les élèves ont séché divers fruits et légumes, tels que les pommes, les tomates, les champignons, les oignons verts, les carottes, les poivrons rouges, oranges et jaunes, les navets, les betteraves, la purée de rhubarbe, les bleuets, les canneberges, les bananes, les ananas, les kiwis, les amélanches.

Les élèves ont utilisé les aliments séchés dans diverses recettes lorsque les ingrédients frais n’étaient pas disponibles, puis ont préparé des plats pour des excursions en kayak ou en camping sauvage, tels des mélanges montagnards et autres. Cette initiative a permis de réduire leur empreinte carbone et de promouvoir l’utilisation de technologies respectueuses de l’environnement. De plus, l’utilisation de nombreux produits locaux, ainsi que de baies sauvages a stimulé l’économie locale en réduisant les émissions liées au transport, les emballages et en mettant en avant les avantages par rapport aux méthodes de conservation traditionnelles.

Reflection & Celebration

Cette activité visait à prolonger la durée de conservation des aliments, à réduire le gaspillage alimentaire, et à économiser sur les coûts en achetant des produits de saison, tout en contribuant à la sécurité alimentaire. Les élèves ont fait le lien entre l’insécurité alimentaire, la dépendance aux multinationales de l’agroalimentaire, et l’importance de cuisiner. Ils ont partagé leurs plats avec leurs pairs, favorisant ainsi un moment de convivialité et de réflexion collective.

2. Faim « zéro »
3. Bonne santé et bien-être
4. Éducation de qualité
11. Villes et communautés durables
12. Consommation et production responsables
13. Mesures relatives à la lutte contre les changements climatiques
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